Les missions |
Les élèves de l’ESGT qui ont participé aux projets humanitaires au Guatemala en 2012 et 2013 ont réalisé des projets essentiellement centrés sur les villes de Quetzaltenango et San Pedro Sacatepéquez. Nous envisageons de reprendre ces projets durant l’été 2014 par l’intermédiaire d’un partenariat avec des géomètres du Guatemala. Notre principal contact sur place est M. Jean-Roch LEBEAU, un ancien élève de l'ESGT et actuellement directeur de l’aménagement du Guatemala, qui nous a proposé certains projets, ainsi que Jésus RONQUILLO, responsable de la section « administración de tierras » à l’Université San Carlos.
- Levers topographiques pour les Réseaux d'adduction d'eau : La ville de Quetzaltenango est actuellement en train de moderniser ses réseaux d’adduction d’eau potable, particulièrement dans les hameaux indiens de la région qui ne sont pas encore connectés au système municipal. Les travaux de récolement sont encore peu utilisés au Guatemala. Nous pourrons apporter des méthodes de travail qui pourront être appliquées dans des situations précises. Nous serons en contact avec M. BARRIENTOS, maire de Quetzaltenango.
- Le cadastre du Guatemala : La mise en place du cadastre au Guatemala est un processus long et couteux. L’institution nationale en charge de ces opérations doit faire face à des problèmes sociaux importants du fait des conflits historiques non résolus entre grands propriétaires terriens et population indienne. Dans ces circonstances, les communes ont décidé de prendre en charge les opérations de cadastres urbains, utiles pour le paiement de l’impôt foncier et l’aménagement du territoire. Tel est le cas dans les villes de Quetzaltenango et San Pedro, qui ont débuté la mise en place de leur cadastre depuis quelques années. L’université San Carlos prête son appui aux opérations de levers cadastraux et de structuration de la base de données municipale. Nous serons amenés à collaborer avec les équipes de terrain en charge des levers topographiques. Des dialogues pourront être instaurés sur le rôle du cadastre et des géomètres dans les deux pays.
- Identification de sites archéologiques : Le Guatemala a recensé plus de 20 000 sites Mayas sur l’ensemble de son territoire. Cependant, cette identification reste précaire et peu précise. Actuellement, très peu d’équipes d’archéologues utilisent la topographie sur les chantiers, du fait de l’absence de main d’oeuvre qualifiée. L’université San Carlos a décidé de mettre en place un programme de recherche pour former les géomètres à la topographie appliquée aux fouilles archéologiques.
- Un échange avec l’université de Quetzaltenango : Cette rencontre permettra d’échanger sur la vision du métier et d’exposer la spécificité française dans le domaine foncier. Cette rencontre est possible par l’intermédiaire de M.RONQUILLO, responsable de la section « administración de tierras » à l’Université San Carlos.
- Levers topographiques pour les Réseaux d'adduction d'eau : La ville de Quetzaltenango est actuellement en train de moderniser ses réseaux d’adduction d’eau potable, particulièrement dans les hameaux indiens de la région qui ne sont pas encore connectés au système municipal. Les travaux de récolement sont encore peu utilisés au Guatemala. Nous pourrons apporter des méthodes de travail qui pourront être appliquées dans des situations précises. Nous serons en contact avec M. BARRIENTOS, maire de Quetzaltenango.
- Le cadastre du Guatemala : La mise en place du cadastre au Guatemala est un processus long et couteux. L’institution nationale en charge de ces opérations doit faire face à des problèmes sociaux importants du fait des conflits historiques non résolus entre grands propriétaires terriens et population indienne. Dans ces circonstances, les communes ont décidé de prendre en charge les opérations de cadastres urbains, utiles pour le paiement de l’impôt foncier et l’aménagement du territoire. Tel est le cas dans les villes de Quetzaltenango et San Pedro, qui ont débuté la mise en place de leur cadastre depuis quelques années. L’université San Carlos prête son appui aux opérations de levers cadastraux et de structuration de la base de données municipale. Nous serons amenés à collaborer avec les équipes de terrain en charge des levers topographiques. Des dialogues pourront être instaurés sur le rôle du cadastre et des géomètres dans les deux pays.
- Identification de sites archéologiques : Le Guatemala a recensé plus de 20 000 sites Mayas sur l’ensemble de son territoire. Cependant, cette identification reste précaire et peu précise. Actuellement, très peu d’équipes d’archéologues utilisent la topographie sur les chantiers, du fait de l’absence de main d’oeuvre qualifiée. L’université San Carlos a décidé de mettre en place un programme de recherche pour former les géomètres à la topographie appliquée aux fouilles archéologiques.
- Un échange avec l’université de Quetzaltenango : Cette rencontre permettra d’échanger sur la vision du métier et d’exposer la spécificité française dans le domaine foncier. Cette rencontre est possible par l’intermédiaire de M.RONQUILLO, responsable de la section « administración de tierras » à l’Université San Carlos.
Notre objectif
Nous cherchons à collaborer avec des associations travaillant sur place, mais malheureusement, celles-ci n'ont bien souvent ni les compétences pour réaliser de tels travaux, ni les fonds nécessaires pour payer ces services. Ainsi, notre savoir-faire est mis au profit de ces associations, et donc des habitants locaux. Par expérience, nous savons que des travaux topographiques sont bien souvent recherchés et qu'il existe très peu d'associations de notre genre.
Cependant, il est à noter que nous ne souhaitons en aucun cas nous approprier le travail des géomètres sur place. Notre unique but est de collaborer à un projet pérenne, d'enrichir celui-ci de notre compétence et du savoir-faire français. En outre, nous pensons que notre présence peut combler un manque de moyen. Ainsi, notre aide est la bienvenue pour ces associations : nous leur assurons un projet bien réalisé.
Cependant, il est à noter que nous ne souhaitons en aucun cas nous approprier le travail des géomètres sur place. Notre unique but est de collaborer à un projet pérenne, d'enrichir celui-ci de notre compétence et du savoir-faire français. En outre, nous pensons que notre présence peut combler un manque de moyen. Ainsi, notre aide est la bienvenue pour ces associations : nous leur assurons un projet bien réalisé.
Le matériel
Afin de réaliser les levers topographiques, nous emporterons en Amérique Centrale du matériel mis à la disposition de l'association Topo Sans Frontières par le fabriquant LEICA.